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Svp- paragraphe à noter sur -08
Message de brillantgirl posté le 21-12-2009 à 18:57:24
Sujet: Tu es malheureux à cause de la ville dans laquelle tu vis.
Tu envoies une lettre à un ami dans laquelle tu lui confies les raisons de ton malaise dans un discours à dominante descriptive.
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Nabeul, le 07/12/09
Cher ami
C'est avec un grand plaisir que je prenais mon stylo pour t'écrire cette lettre et prendre de tes nouvelles. Mais, tu sais? Mon déménagement était fort morose. Ton absence a créé un grand vide dans ma vie. Et tu sais? Les jours dans notre aimable ville se sont finis. Eh oui! C'est du passé, un bel passé et c'est un amer présent. La ville où j'habitais maintenant est fort désagréable. Oui, oui! Cette ville inspire une telle mélancolie égale à celle que provoquent les landes les plus ternes, les cloîtres les plus sombres et les ruines les plus tristes. Ces aspects de mélancolie consistent à sa physionomie. étroites, obscures, épouvantables telles étaient ses ruelles. Des maisons pavées de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre. Ces maisons avaient des fenêtres dont le vitrage, coupé à angle droit, était noir de crasse. Le seul jardin qui bordait la route principale était comme une cimetière. Aucun signe de vie! Pas d'arbres, pas de fleurs, pas de bancs...
D'où peux-je commencer et d'où terminer? C'est un endroit mort de manière que je voyais devant les yeux les ténèbres dès que je l'entrai. Ici, nous sommes privés de tous moyens de distraction ou de divertissement. Même les nécessités sont absents. Pas de bibliothèque, pas de maison des jeunes, pas de club..Je me sentais ici mal à l'aise. Mais, parlons des habitants. Ce sont des êtres incroyables. J'ai une doute pour qu'ils sont des êtres humains. Je croyais qu'ils sont des bêtes sauvages, féroces, agressives. Ce sont des hommes qui manquaient de toutes les conditions de l'humanité qui sont métamorphosés en conditions d'animalité. Impitoyables, égoïstes, brutales tels ils étaient. Ce sont des êtres ni foi ni loi. Eh bah! C'est une vie morose, triste, mélancolique et malheureuse dans cette ville ignoble.
Mon ami! Ici la vie est en noir. Des services limités, des habitants impitoyables, une architecture carcérale. Excuse-moi si j'étais si pessimiste et si j'ai encombré cette lettre de chagrin et de malheurs. Je sais, je sais! J'étais un peu excessive dans mes expressions. Mais désolé si j'ai dépassé les limites.
Effectivement, j'ai beaucoup besoin de tes paroles qui consolent. Alors écris-moi le lus tôt possible et en attendant ta réponse passe le bonjour à toute ta famille.
Affectueusement
------------------
Modifié par bridg le 21-12-2009 19:17
C'est un plagiat d'Eugénie Grandet de Balzac.
Nous ne prenons pas en charge. Balzac n'est pas à corriger.
Cordialement
Message de brillantgirl posté le 21-12-2009 à 18:57:24
Sujet: Tu es malheureux à cause de la ville dans laquelle tu vis.
Tu envoies une lettre à un ami dans laquelle tu lui confies les raisons de ton malaise dans un discours à dominante descriptive.
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Nabeul, le 07/12/09
Cher ami
C'est avec un grand plaisir que je prenais mon stylo pour t'écrire cette lettre et prendre de tes nouvelles. Mais, tu sais? Mon déménagement était fort morose. Ton absence a créé un grand vide dans ma vie. Et tu sais? Les jours dans notre aimable ville se sont finis. Eh oui! C'est du passé, un bel passé et c'est un amer présent. La ville où j'habitais maintenant est fort désagréable. Oui, oui! Cette ville inspire une telle mélancolie égale à celle que provoquent les landes les plus ternes, les cloîtres les plus sombres et les ruines les plus tristes. Ces aspects de mélancolie consistent à sa physionomie. étroites, obscures, épouvantables telles étaient ses ruelles. Des maisons pavées de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre. Ces maisons avaient des fenêtres dont le vitrage, coupé à angle droit, était noir de crasse. Le seul jardin qui bordait la route principale était comme une cimetière. Aucun signe de vie! Pas d'arbres, pas de fleurs, pas de bancs...
D'où peux-je commencer et d'où terminer? C'est un endroit mort de manière que je voyais devant les yeux les ténèbres dès que je l'entrai. Ici, nous sommes privés de tous moyens de distraction ou de divertissement. Même les nécessités sont absents. Pas de bibliothèque, pas de maison des jeunes, pas de club..Je me sentais ici mal à l'aise. Mais, parlons des habitants. Ce sont des êtres incroyables. J'ai une doute pour qu'ils sont des êtres humains. Je croyais qu'ils sont des bêtes sauvages, féroces, agressives. Ce sont des hommes qui manquaient de toutes les conditions de l'humanité qui sont métamorphosés en conditions d'animalité. Impitoyables, égoïstes, brutales tels ils étaient. Ce sont des êtres ni foi ni loi. Eh bah! C'est une vie morose, triste, mélancolique et malheureuse dans cette ville ignoble.
Mon ami! Ici la vie est en noir. Des services limités, des habitants impitoyables, une architecture carcérale. Excuse-moi si j'étais si pessimiste et si j'ai encombré cette lettre de chagrin et de malheurs. Je sais, je sais! J'étais un peu excessive dans mes expressions. Mais désolé si j'ai dépassé les limites.
Effectivement, j'ai beaucoup besoin de tes paroles qui consolent. Alors écris-moi le lus tôt possible et en attendant ta réponse passe le bonjour à toute ta famille.
Affectueusement
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Modifié par bridg le 21-12-2009 19:17
C'est un plagiat d'Eugénie Grandet de Balzac.
Nous ne prenons pas en charge. Balzac n'est pas à corriger.
Cordialement
